S'il n'y avait qu'un seul article à lire aujourd'hui...
dimanche 12 avril 2020 09:42
Chers Tradosauriens,
Vous savez que j'investis dans l'or depuis 2006 et c'est un article similaire qui m'a ouvert les yeux. Celui-ci est beaucoup plus ludique et si vous ne devez lire qu'une seule chose aujourd'hui, que ce soit cela.
"Mon arrière-grand-père, Pierre Antoine CHAPERON, né le 7 août 1884, était artisan boulanger à Lyon. En 1908, il épouse mon arrière-grand-mère Marie Usseglio Brancard, une italienne née à Suse, et ils donnent naissance à deux beaux enfants en 1912 et 1915. A la naissance de son premier enfant, Pierre Antoine décide d’économiser une somme à transmettre à ses enfants Marc Jean et René Pierre (mon grand-père).
En 1912, l’hectolitre de blé (80 kilos) coûte 20 francs, le seigle 19 francs, et il vend son pain 1ère qualité de 1 kilo 40 centimes.
Le vrai prix du pain, le prix du travail
A raison de 25 pains vendus par jour, mon arrière-grand-père gagne 10 francs par jour de travail pour lui, son épouse qui tient boutique, et ses deux enfants. C’est un très bon salaire pour l’époque, car un ouvrier gagne 2 francs par jour, un forgeron 5 francs par jour à Paris, et un serrurier 7 francs par jour. Un habit complet pour homme coûte entre 6 et 12 francs, un chapeau de ville 18 francs, la stère de bois pour le four 14 francs.
Pierre Antoine décide d’économiser 10 francs par mois..."
La suite de l'article est là: cliquez ici
Vous savez que j'investis dans l'or depuis 2006 et c'est un article similaire qui m'a ouvert les yeux. Celui-ci est beaucoup plus ludique et si vous ne devez lire qu'une seule chose aujourd'hui, que ce soit cela.
"Mon arrière-grand-père, Pierre Antoine CHAPERON, né le 7 août 1884, était artisan boulanger à Lyon. En 1908, il épouse mon arrière-grand-mère Marie Usseglio Brancard, une italienne née à Suse, et ils donnent naissance à deux beaux enfants en 1912 et 1915. A la naissance de son premier enfant, Pierre Antoine décide d’économiser une somme à transmettre à ses enfants Marc Jean et René Pierre (mon grand-père).
En 1912, l’hectolitre de blé (80 kilos) coûte 20 francs, le seigle 19 francs, et il vend son pain 1ère qualité de 1 kilo 40 centimes.
Le vrai prix du pain, le prix du travail
A raison de 25 pains vendus par jour, mon arrière-grand-père gagne 10 francs par jour de travail pour lui, son épouse qui tient boutique, et ses deux enfants. C’est un très bon salaire pour l’époque, car un ouvrier gagne 2 francs par jour, un forgeron 5 francs par jour à Paris, et un serrurier 7 francs par jour. Un habit complet pour homme coûte entre 6 et 12 francs, un chapeau de ville 18 francs, la stère de bois pour le four 14 francs.
Pierre Antoine décide d’économiser 10 francs par mois..."
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